À Orléans, en l’an 2222, le seul village ne vibrait plus que marqué par le chant grave des machines. L’air lui-même semblait scellé dans un indestructible vacarme métallique, rompu exclusivement par le chuintement des véhicules autonomes et les murmures codés des interfaces holographiques. Dans ce décor ultramoderne, un endroit jurait https://lorenzorzcfh.digitollblog.com/34036133/l-imprimerie-des-avenirs-refusés