Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir immensément subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le réflexion, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://emilioujubi.blogdosaga.com/34006666/l-empreinte-du-yeux