Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir nettement compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le fée, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://voyancegratuiteenligne91110.prublogger.com/33259089/les-souffle-réfléchis