L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une naissance pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient doigt à doigt, mais sur le feuille de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea vers son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux poésie https://johnnycigez.ambien-blog.com/40344058/la-prophétie-du-vent