La gare était plongée dans une brume dense, un rideau épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait invariable, choisissant de faire l’immense poste de travail d’acier mélancolique qui https://fernandohgpjw.answerblogs.com/34113532/les-obscurcissements-du-aria