La gare était plongée dans une brume dense, un rideau épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le pont indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait permanent, optant pour l’immense machine d’acier enliser qui sifflait légèrement, prête https://spencertgnuz.blogpayz.com/33967677/le-train-sans-retour