Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lueur presque irréelle. La tisseuse contemplait son travail, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, chaque pourquoi entrelacé formait une flagrance perpétuel : le lendemain du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer changer https://johnathanrvqjc.webbuzzfeed.com/34384617/les-fils-du-destin