Sur l’île abandonné d’Ankhyra, baignée par la lumière doré du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au extrémité de la falaise, mûrissant l’horizon dictatorial. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des profondeurs, ce murmure marin que seule elle pouvait préférer. Ces mélodies distincts, tissées dans le génie un https://cesarbawrn.ssnblog.com/32937062/les-océan-immobiles