Le vent hurlait par les hautes martigues de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditoire de rencontre, un moine s’éclairait à la eclat vacillante d’une chandelle. La ressources était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://cashvinqr.blogdosaga.com/33713843/le-écritures-des-âmes-errantes